Se détacher ça veut dire quoi exactement ?
Nous avons tous des évènements plus au moins simple à gérer dans nos vies. Personne ne traverse la vie sans avoir connu que se soit personnellement ou pour un membre de son entourage par exemple la maladie, un décès, une perte (ex : d’emploi, financière), une séparation etc.
Il est alors normal de ressentir des émotions comme de la colère ou de la tristesse. L’idée dans le détachement, n’est pas de faire comme si les évènements que nous sommes en train de traverser n’existent pas. C’est plutôt d’apprendre à ne pas se focaliser uniquement sur cet élément et de mettre en place une attitude constructive qui permette d’avancer.
En sophrologie vous allez apprendre à mettre l’événement qui vous stress à distance afin de ne plus ruminer sans cesse et cesser d’entretenir un cercle non vertueux.
Vous allez découvrir le lâcher-prise grâce à l’atteinte d’un état modifié de conscience que vous pourrez reproduire à votre convenance chez vous.
Lors de votre accompagnement en sophrologie, vous apprendrez également à gérer vos émotions. Gérer une émotion ne signifie pas, apprendre à ne plus ressentir, ce qui est impossible, mais plutôt apprendre à composer avec les émotions que je ressens.
Grâce à la sophrologie, vous allez également découvrir comment vous connectez à des sentiments et émotions positives et vous reconnectez à vos ressources afin de pouvoir être pleinement disponible pour la situation de vie que êtes en train de traverser.
Lors de votre accompagnement, je vous transmet des techniques qui vont constituer votre boite à outils pour votre quotidien. Retenez bien que la sophrologie est un apprentissage qui permet de modifier vos habitudes pour accéder à de nouveaux comportements.
Une histoire pour illustrer la mise en application du détachement et le fait que nous ne pouvons ni contrôler les évènements, ni les personnes qui nous entourent.
Le détachement, extrait de « Savoir lâcher prise » Melody Beattie
"La première fois que j’ai mis le détachement en pratique, c’est au moment où j’ai renoncé à mon mari, qui était alcoolique. Il buvait depuis notre mariage, sept ans auparavant.
Pendant tout ce temps, j’ai nié le fait qu’il était alcoolique et j’ai essayé de le faire cesser de boire.
J’ai fait des choses terribles pour qu’il arrête, pour lui ouvrir les yeux, pour lui faire prendre conscience de tout le mal qu’il me faisait. Je croyais vraiment bien faire en essayant de le raisonner.
Un soir, j’ai vu les choses clairement. Je me suis rendu compte que mes efforts pour le raisonner ne viendraient jamais à bout du problème. Je me suis aperçue aussi que ma vie m’échappait. Je ne pouvais le contraindre à faire ce qu’il ne voulait pas faire. J’étais gouvernée par son alcoolisme, même si je ne buvais pas.
Je l’ai laissé libre, libre de faire comme il l’entendait. En vérité, il faisait à sa guise de toute façon. Les choses ont changé le soir où je me suis détachée. Il l’a senti, tout comme moi d’ailleurs. En le libérant, je me suis donné la liberté de vivre ma vie.
J’ai eu à appliquer le principe du détachement bien des fois depuis. J’ai dû me séparer de gens qui étaient sains comme de gens qui ne l’étaient pas. Par le détachement, j’y suis toujours parvenue. C’est un principe infaillible.
Le détachement est un don. Il nous sera offert, quand nous y serons prêts. Lorsque nous libérons l’autre, nous sommes libérés. »
Pour toute demande de renseignements, contactez-moi, je vous reçois en cabinet à Saint Cyr l’Ecole (secteur Versailles) ou je vous accompagne à distance si cette modalité vous convient davantage.
Consultations au Cabinet de Sophrologie-Reiki Saint Cyr L'école (secteur Versailles)